Las Españas son la realizacíon en el campo politico-social del principio de estética: "La belleza consiste en la unidad dentro de la variedad"
14 de diciembre de 2015
Dans une apparition controversée à la conférence Haaretz, Rivlin défend Tsahal
Dans une apparition controversée à la conférence Haaretz, Rivlin défend Tsahal
Les critiques s’emportent sur le président pour avoir assisté à l’évènement, et sur les organisateurs pour avoir accepté la demande de Saeb Erekat de l’OLP d’enlever les drapeaux israéliens du podium pendant son discours
Le président Reuven Rivlin à la conférence Haaretz à New York, le 13 décembre 2015. (Crédit : Amir Levy/Flash90)
Pendant une apparence controversée à la conférence de gauche à New York, le président Reuven Rivlin a appelé dimanche les Israéliens à « trouver de nouveaux moyens diplomatiques » pour garder le pays « fort et sûr ». S’exprimant à la conférence organisée par le quotidien Haaretz et par le New Israel Fund, le président a aussi loué les services de sécurité et militaires d’Israël.
Sa venue à l’évènement a incité aux critiques certains milieux de droite en Israël. Et les organisateurs de la conférence ont aussi été critiqués pour avoir enlevé le drapeau israélien de la scène à la demande d’un autre orateur, le fonctionnaire de l’OLP et ancien négociateur en chef pour la paix palestinien, Saeb Erekat.
« De temps en temps, ce qui est évident doit être dit. Particulièrement en cette période de dangereux terrorisme. L’armée israélienne fait tout ce qui est en son pouvoir pour maintenir les plus hauts standards possibles », a déclaré Rivlin, dans un discours apparemment écrit pour contrer l’organisation de gauche Breaking the silence, qui participait aussi à la conférence.
« Aucune autre armée dans le monde n’est aussi morale que l’armée israélienne » face aux menaces terroristes persistantes. Pour cela, nous sommes très fiers, très fiers d’eux. Et vraiment nous leur devons tout notre soutien et notre appréciation ».
« L’Etat d’Israël a le devoir de défendre son peuple, et c’est ce que l’armée et tous nos services de sécurité font », a continué Rivlin.
Il a ajouté que « promettre qu’Israël reste fort et sûr n’est pas seulement une mission militaire. Nous devons trouver de nouvelles voies diplomatiques, parce que trouver de nouvelles voies diplomatiques est aussi important pour notre sécurité. Et pour ça, nous devons penser autrement ».
Egalement présente à la conférence, l’ambassadeur des Etats-Unis à l’ONU Samantha Power a critiqué les constructions d’implantations israéliennes en Cisjordanie.
Les deux parties sont responsables de l’impasse des négociations de paix, a-t-elle déclaré au public dimanche.
« Nous savons qu’arriver à la paix n’est pas facile – cela nécessite de faire des choix pour les deux parties. Nous n’avons pas vu un engagement suffisant de chacune des parties à créer les conditions de la paix. »
Les Etats-Unis n’abandonneront pas Israël, y compris dans les réunions internationales comme l’ONU, où « Israël n’a pas toujours été traité équitablement », a promis Power. Elle s’en est prise à « l’absurdité » qu’Israël soit le seul État à être un sujet permanent de l’agenda du conseil des droits de l’Homme, « et pas la Syrie, qui gaze ses citoyens ».
Mais, a-t-elle ajouté, « la croissance continue des implantations soulève des questions sur les objectifs à long terme d’Israël ».
Power a appelé Israël à répondre aux dures questions posées par ses soutiens et à offrir une politique concrète pour résoudre le conflit avec les palestiniens et établir un Etat palestinien.
La venue de Rivlin à la conférence a soulevé des critiques parmi le public de droite qui a longtemps soutenu l’ancien député du Likud et président de la Knesset. En particulier, les critiques pensent que le président du pays n’aurait pas du participer à une conférence comprenant l’organisation Breaking the silence, une association qui accuse l’armée israélienne de crimes de guerre en publiant des témoignages majoritairement anonymes.
Des douzaines de réservistes de l’armée israélienne s’étaient rassemblés devant la résidence de Rivlin samedi pour manifester contre sa participation à la conférence.
Rivlin a répondu aux critiques sur Facebook, disant qu’il n’assisterait jamais à un évènement officiel de Breaking the silence, ou ne s’assoirait avec ses représentants, mais précisant qu’il ne croit pas que la participation de l’organisation à l’une des conférences ne soit une raison pour éviter tout l’évènement.
Sa défense de l’armée israélienne dans son discours a pu être une réponse aux critiques israéliennes.
Les organisateurs de Haaretz se sont aussi attirés les critiques en acceptant d’enlever un drapeau israélien de la scène pendant le discours de l’ancien négociateur palestinien Erekat, critique amer d’Israël.
Le négociateur palestinien Saeb Erekat lors de la Conférence J street à Washington, le 23 mars 2015 (Crédit : Capture d’écran YouTube)
Un article d’une pleine page dans le quotidien hébraïque de droiteIsrael Hayom a cité des ministres, y compris le ministre de l’Intégration Zeev Elkin, critiquant la demande de retrait du drapeau, ainsi que l’acquiescement de Haaretz.
Dans le quotidien le plus vendu, Yedioth Aharonoth, l’éditorialiste Ben-Dror Yemini a écrit que le retrait du drapeau national « marque le franchissement de la ligne rouge. C’était une reddition d’Haaretz, peut-être volontaire, à ceux qui nient le fait de l’existence de l’Etat juif ».
Yemini a aussi fustigé Rivlin pour sa participation, écrivant que le président « trouve apparemment difficile de distinguer la critique légitime de la politique du gouvernement et [les activités de] certaines stars de la conférence, qui mènent une campagne de terreur propagandiste contre l’Etat et rejette son existence même. Quand Rivlin participe à la conférence où le drapeau de l’Etat est enlevé sur demande d’Erekat, et où l’on peut rencontrer [le musicien Roger] Waters du BDS (mouvement Boycott, Désinvestissement, Sanction), il y a un problème.
Le dirigeant de Haaretz Amos Schocken a balayé les critiques, écrivant dans un tweet que « le bureau de Rivlin a demandé à avoir le drapeau quand il parle, les conseillers d’Erekat ont demandé à ce qu’il n’y ait pas de drapeau israélien derrière lui quand il parle. Raisonnable. »
Un visionnage rapide des discours de la conférence montre que le drapeau n’a pas été placé sur la scène juste pour Rivlin. Il était là quand les dirigeants du New Israel Fund Daniel Sokatch et Talia Sasson se sont exprimés, ainsi que la députée de l’Union sioniste Tzipi Livni, la rédactrice en chef de l’édition anglophone de Haaretz Charlotte Halle, et même Schocken lui-même.
Nací en Madrid en el año 1.948. Estudié durante nueve años en los colegios de la Compañía de Jesús de Areneros y del Recuerdo de Madrid.
Licenciado en derecho por la Facultad de Derecho de la Universidad Complutense de Madrid, estudié también los dos primeros cursos de Ingeniero de Minas del plan 1964 en la E.T.S.I. de Minas de Madrid.
Además de mi lengua materna, el castellano, leo fluentemente el portugués, francés, italiano, y latín. Tengo nociones de inglés, griego y hebreo bíblico.
Desde muy joven ingresé en la Familia de Almas fundada por el Prof. Plinio Corrêa de Oliveira, habiendo sido fundador y presidente de la Sociedad Cultural Covadonga – TFP.
Como miembro de la Familia de Almas fundada por el Prof. Plinio Corrêa de Oliveira, asumo totalmente el análisis filosófico-histórico de su obra cumbre: el libro Revolución y Contra-Revolución, síntesis de su pensamiento en esta área, y punto de partida para el apostolado lego del Prof. Plinio Corrêa de Oliveira y de toda la Familia de Almas por él fundada. Con sus propias palabras diremos: «Revolução e Contra-Revolução não é senão uma aplicação da Doutrina Católica a certas situações históricas». En la médula de su pensamiento están: El Magisterio Tradicional de la Iglesia y Santo Tomás: «Sou tomista convicto. O aspecto da Filosofia pelo qual mais me interesso é a Filosofia da História. Em função deste encontro o ponto de junção entre os dois gêneros de atividade em que me venho dividindo ao longo de minha vida: o estudo e a ação. O ensaio em que condenso o essencial de meu pensamento explica o sentido de minha atuação ideológica. Trata-se do livro Revolução e Contra-Revolução» (cfr. Auto-retrato filosófico de Plinio Corrêa de Oliveira. Revista “Catolicismo” (http://www.catolicismo.com.br), outubro de 1996, N° 550. Editora Padre Belchior de Pontes Ltda. Sáo Paulo – Brasil. Cfr. También en el sitehttp://www.pliniocorreadeoliveira.info/).
Este Blog «Las Españas», que considero una forma de apostolado lego, copia las noticias de modo indicativo, no exhaustivo, que señalan en qué estado está España, por eso prácticamente el noticiario seleccionado se dedica a España, aunque a menudo reproducimos noticias que no son de España, pero que conforme el caso pueden afectar al rumbo histórico de España.
¿Por qué «Las Españas»? Fue el título de nuestros Reyes, Reyes de todas Las Españas, desde los Reyes Católicos hasta el Rey Carlos II último rey de la Casa de Austria. Representa el respeto a la diversidad regional.
Finalmente diremos que ese apostolado tiene como ideal el enunciado por San Luis María Grignion de Montfort en su «Tratado de la Verdadera Devoción a la Santíssima Virgen». «Ut adveniat regnum tuum, adveniat regnum Mariae» (op. cit., Vozes, Petrópolis, 1984, 13ª ed., no 217, pp. 210-211).
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