Vidéo : les Libyens "libérés" profanent
les cimetières chrétiens au cri de "Allah akbar"
les cimetières chrétiens au cri de "Allah akbar"
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A peine quelques mois après le "printemps" libyen, les nouvelles autorités ont déclaré baser la nouvelle constitution du pays sur la charia, réinstaurer la polygamie et le port du voile.
Le masque est vite tombé et les islamistes ont compris qu'ils pouvaient commencer à mettre en oeuvre une des sourates (1) du coran concernant la mise à mort des "infidèles".
Mais même par delà la mort ces fanatiques ont entrepris de profaner les tombes des chrétiens (2) - traités de sales chiens dans la vidéo - et des israëlites.
On ne sait qui il faut remercier pour cette nouvelle "avancée démocratique" et pour cette nouvelle version des "droits de l'homme" : Bernard HENRI-LEVY ou l'ONU ?
La Porte Latine, le 5 mars 2012
(1) La sourate IX.5 « Tuez les infidèles, partout où vous les trouverez…"
(2) Révélée par le Mail on Sunday, l'affaire fait grand bruit au Royaume-Uni : des tombes de militaires britanniques, tués en Libye durant la seconde guerre mondiale, ont été profanées par des militants islamistes dans la région de Benghazi. Deux cimetières ont été attaqués, les 24 et 26 fevrier dernier. Devant les réactions britanniques, le gouvernement libyen a présenté ses "profondes excuses", se disant "extrêmement choqué". On ignore si des mesures ont été prises contre les auteurs de cet acte, qui agissaient à visage découvert. Le journal britannique les présente comme "d'anciens rebelles libyens" - c'est-à-dire ceux là même que les militaires britanniques et français ont sauvés l'année dernière face aux troupes de Kadhafi. Ils auraient agi pour protester contre la destruction de Coran par les soldats américains en Afghanistan. [Source : Marianne2/Jean-Dominique Merchet, journaliste à Marianne]
(2) Révélée par le Mail on Sunday, l'affaire fait grand bruit au Royaume-Uni : des tombes de militaires britanniques, tués en Libye durant la seconde guerre mondiale, ont été profanées par des militants islamistes dans la région de Benghazi. Deux cimetières ont été attaqués, les 24 et 26 fevrier dernier. Devant les réactions britanniques, le gouvernement libyen a présenté ses "profondes excuses", se disant "extrêmement choqué". On ignore si des mesures ont été prises contre les auteurs de cet acte, qui agissaient à visage découvert. Le journal britannique les présente comme "d'anciens rebelles libyens" - c'est-à-dire ceux là même que les militaires britanniques et français ont sauvés l'année dernière face aux troupes de Kadhafi. Ils auraient agi pour protester contre la destruction de Coran par les soldats américains en Afghanistan. [Source : Marianne2/Jean-Dominique Merchet, journaliste à Marianne]
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